Native de Khémisset où elle vécut jusqu’à l’obtention de son baccalauréat en 2015, Aya Azaddou déménage à Rabat pour poursuivre ses études à l’Institut Supérieur de l’Information et de la Communication. Dès sa première année, elle montre un grand intérêt au photojournalisme, et rejoint l’année qui suit l’atelier photo «Cercle des photographes R’batis» fondé par le professeur Jaâfar Akil. Respectivement, elle reçoit le premier puis le troisième prix du Marathon Photographique organisé lors de la deuxième puis la troisième édition des Rencontres Photographiques de Rabat, et finit par rejoindre les membres du bureau de l’Association Marocaine d’Art Photographique. Cette passion pour la photographie qui la hante a ressurgi lors de ses projets de fin d’études à la licence, où elle évoque le sujet du «Discours journalistique sur la photographie au Maroc : Cas du magazine Diptyk» ; comme au master en communication publique et politique choisissant de traiter du sujet du «Portrait politique à travers un récit iconographique : cas des mémoires de Mohamed Bensaid Ait Idder».
Série « Rabat : Memory Lane »